[Poèmes] Mon recueil

A l'heure ou leurs amis vont au pays des rêves
Des milliers de guerriers se lèvent
Prets a partir pour la guerre
Prets a s'enfoncer dans les enfers
Mais ils sont tous près a mourir
Tous près a en finir
Avec les milliers d'humains tombés dans l'abysse profonde
qui depuis sont devenus fous
qui en voulant sortir de leur trou
détruisent toute les merveilles du monde
lorsque le soleil se lèvera
une centaines de cadavre brûlera

Quand je vois pleurer ses yeux
je me dis que rien n'est plus beau
que de la voir avec un sourire radieux
qui libérerait ce monde de tout ses maux

Même ses cheveux respire cette joie
celle de vivre main dans la main
de toucher le paradis du bout des doigts
et d'y revenir le lendemain

Elle est ma plus belle poésie
les jours avec elle sont mes plus beaux souvenirs
elle m'émerveille en mettant dans ma noirceur cette lumineuse magie
je voudrais tant que jamais elle ne doive partir

Pourtant je le sais depuis le commencement
Même si j’essaie de la repousser toujours plus fortement
elle me guette me surveille
alors je lui dirais je t'aime avant qu'elle ne m'appelle

Tu es partie loin de moi
et je ne sais pas pourquoi
Mais sache et n'oublie pas que pour toi
malgré les difficultés je serais là

Pour te consoler t'enlacer
ce monde je suis prêt à le traverser
Pour enfin te redire ces trois petits mots
Afin que nos coeurs se comprennent à nouveau

Vous vous imaginez que jamais je n'ai peur
Mais c'est juste que je leur fais face
jamais je n'ai eu besoin qu'à la petite cuillère on ne me ramasse
je suis peut être fou mais c'est que je n'ai plus de coeur

Car une demoiselle d'une belle assurance
m'est apparue et je sais qu'elle manigance
un moyen pour me les faire avouer
Ces sentiments que j'ai toujours refouler

je ne sais que faire
lorsque coulent ses larmes
je ne vois que cet enfer
ou hurlent en brandissant leurs armes
des millier de guerriers damnés
Moi j'ai pu de son courroux m'échapper
depuis je protège celle qui de mon coeur
détient les clés de sa fureur

Lors de ma vie jamais je n'ai souris
Car je voyais de ce monde la véritable face
Ou les droits et les pouvoirs sont à des rapaces
Les héros de mon enfances je les envie

Car eux pouvaient changeur leurs univers
Nous nous n'en sommes incapables
Nous sommes entrés dans une ère
où les hommes sont devenus méprisables

Ce monde je voudrais ne jamais l'avoir connu
Mais je suis là et c'est mon destin
Et c'est ce même destin qui m'a déchu
De ce statut honorable de paladin

Mais cette douleur n'est rien comparé à celle
de t'avoir perdue de vue , oubliée effacée
Toi qui me faisait déployer mes ailes
Depuis j'ère dans ce monde sans point d'arriver

Un jour je lui ai dit
si jamais tu as un soucis
Dis le moi et je viendrais
car mes amis toujours je protégerais

Mais ces mots je vais les regretter
Car sa joie jamais elle n'est venue la partager
je n'existe à ses yeux qu'en dernier choix
cela me fait mal mais elle ne le voit pas

Lorsque ton regard se pose sur moi
je sais que les anges guideront mes pas
Mais ils verront leur ennemi
Ce démon voulant les mener vers l'oubli

à ce moment ton coeur souffrira
Car ils sont tes amis et ta famille
je les serrerai dans mes bras
jusqu'au jour où la lumière brille

tes larmes n'auront plus lieu d'exister
tes peurs pourront disparaître pour l'éternité
nous avancerons mains dans la main
Vers cet avenir qui sera certainement divin